L'assurance habitation
L’assurance habitation est obligatoire dès lors que l’on dispose d’un logement à notre nom en qualité de locataire. Et lorsque l’on est propriétaire, elle est souvent rendue obligatoire par la copropriété lorsque l’on achète un appartement dans un ensemble de logements.
En conséquence, il est nécessaire de fournir une attestation d’assurance habitation le jour où l’on débute un bail d’habitation, ou le jour de la signature de l’achat d’un bien immobilier que l’on va habiter au sein d’un immeuble.
L’assurance habitation obligatoire pour les locataires s’appelle « risques locatifs » et couvre les dommages causés au logement par un incendie, un dégât des eaux ou une explosion. Elle couvre également les risques « globaux », tels que les catastrophes naturelles, technologiques ou les conséquences d’attentats ou d’émeutes par exemple.
Les assurances habitation ne proposent pas d’option « tous risques » ou « au tiers » comme pour les assurances auto, mais plusieurs niveaux de garanties complémentaires au sein des contrats dits « multirisques habitation ». Au sein de ces garanties, on peut lister, l’assurance responsabilité civile (Notamment pour soi ou les membres de son foyer – enfants pour les activités scolaires par exemple), le vol, la protection juridique, ….
Le niveau des garanties couvrant les biens dans l’appartement (vol, incendie, …) dépend du capital mobilier déclaré et assuré par le contrat. Il correspond à la valeur du mobilier et des biens présents dans le logement. Ils sont séparés en mobilier « classique », incluant le matériel high-tech ou les instruments de musique, et les objets « précieux », correspondant aux bijoux, collections, ou tout autre objet correspondant à du mobilier classique, mais ayant une valeur unitaire importante.
Comme pour toutes les assurances, il faut regarder leur fonctionnement dans le détail. Un point d’attention particulier, qui n’est pas forcément mis en avant par les intermédiaires proposant les contrats, est le niveau de sécurité correspondant au capital assuré.
En effet, un niveau de capital élevé requiert souvent un niveau de protection élevé, et ce dernier est évalué en fonction de la sécurisation des portes et des fenêtres. Afin de ne pas avoir de mauvaises surprises en cas de cambriolage, vérifiez bien avant de souscrire que votre niveau de protection correspond à ce qui est demandé par l’assureur.
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L’assurance dite « des moyens de paiement » est proposée par les banques en même temps que la carte bancaire ou la formule d’abonnement mensuelle choisie lors de l’ouverture d’un compte.
Souvent présentée à tort comme l’assurance des moyens de paiement (qui en réalité sont assurés sans surcoût, et sans limite de montant notamment pour la carte bancaire en cas de fraude), ces assurances couvrent les frais de réfection des papiers officiels en cas de perte ou de vol, de serrurerie pour les clés, ou encore une petite enveloppe de cash en cas de déclaration de vol d’espèces.
Ce pourquoi il vaut mieux les appeler assurances du portefeuille. Rien d’indispensable donc, mais si vous perdez souvent votre portefeuille, peut-être que cette assurance qui coûte une 20 aine d’euro par an sera rentable.
Autrement appelée assurance loyers impayés, la GLI permet à un investisseur en immobilier direct (un bailleur) de se couvrir contre des impayés sur les loyers d’un bien loué.
L’assurance des appareils mobiles est proposée depuis une 10 aine d’année par les banques et les assureurs. Il s’agit de couvrir les dommages accidentels causés aux smartphones et aux tablettes.
En fonction du nombre d’appareils au sein de votre foyer, ce type d’assurance peut être intéressant. Attention toutefois à bien vérifier les conditions de mise en jeu des garanties. En effet, à l’inverse d’une assurance auto ou habitation, ce n’est pas un expert qui évaluera les dommages et leur cause.
Ce sera souvent une déclaration de sinistre qui se fera par téléphone, et la manière de déclarer un accident peut vous refuser l’accès à l’indemnisation, notamment si l’opérateur considère que la manière de décrire l’incident vous rend indirectement responsable. Il faut donc bien lire les conditions d'indemnisation et préparer la manière de déclarer le sinistre avant sa déclaration.
L’assurance habitation est obligatoire dès lors que l’on dispose d’un logement à notre nom en qualité de locataire. Et lorsque l’on est propriétaire, elle est souvent rendue obligatoire par la copropriété lorsque l’on achète un appartement dans un ensemble de logements.
En conséquence, il est nécessaire de fournir une attestation d’assurance habitation le jour où l’on débute un bail d’habitation, ou le jour de la signature de l’achat d’un bien immobilier que l’on va habiter au sein d’un immeuble.
L’assurance habitation obligatoire pour les locataires s’appelle « risques locatifs » et couvre les dommages causés au logement par un incendie, un dégât des eaux ou une explosion. Elle couvre également les risques « globaux », tels que les catastrophes naturelles, technologiques ou les conséquences d’attentats ou d’émeutes par exemple.
Les assurances habitation ne proposent pas d’option « tous risques » ou « au tiers » comme pour les assurances auto, mais plusieurs niveaux de garanties complémentaires au sein des contrats dits « multirisques habitation ». Au sein de ces garanties, on peut lister, l’assurance responsabilité civile (Notamment pour soi ou les membres de son foyer – enfants pour les activités scolaires par exemple), le vol, la protection juridique, ….
Le niveau des garanties couvrant les biens dans l’appartement (vol, incendie, …) dépend du capital mobilier déclaré et assuré par le contrat. Il correspond à la valeur du mobilier et des biens présents dans le logement. Ils sont séparés en mobilier « classique », incluant le matériel high-tech ou les instruments de musique, et les objets « précieux », correspondant aux bijoux, collections, ou tout autre objet correspondant à du mobilier classique, mais ayant une valeur unitaire importante.
Comme pour toutes les assurances, il faut regarder leur fonctionnement dans le détail. Un point d’attention particulier, qui n’est pas forcément mis en avant par les intermédiaires proposant les contrats, est le niveau de sécurité correspondant au capital assuré.
En effet, un niveau de capital élevé requiert souvent un niveau de protection élevé, et ce dernier est évalué en fonction de la sécurisation des portes et des fenêtres. Afin de ne pas avoir de mauvaises surprises en cas de cambriolage, vérifiez bien avant de souscrire que votre niveau de protection correspond à ce qui est demandé par l’assureur.
L’assurance automobile est une assurance obligatoire dès lors que l’on dispose d’un véhicule à moteur.
De manière obligatoire, elle couvre les dommages causés par des accidents dont l’assuré n’est pas responsable, ainsi que les dommages causés aux autres de manière non-intentionnelle via la partie responsabilité civile du contrat.
Il existe ensuite une myriade de contrats avec autant d’options, de garanties, de franchises, de limite de prise en charge.
Les grandes options sont « au tiers » et « tous risques », le principe étant qu’une assurance au tiers ne couvre que la partie obligatoire détaillée au-dessus, le contrat tous risques tout type de dommages. La situation est en réalité beaucoup plus complexe et certaines assurances au tiers peuvent proposer des garanties complémentaires intéressantes comme la prise en charge du vandalisme et des incendies.
Comme pour toutes les assurances, il est important de regarder les garanties et de comparer éventuellement les contrats vis-à-vis de ses propres besoins. Ainsi que de regarder l’application des garanties et leurs exclusions afin d’éviter toute mauvaise surprise s’il faut mettre en jeu l’assurance.
L’assurance propriétaire non-occupant (PNO) est obligatoire dès lors que vous achetez un logement dans une copropriété afin de le louer (enfin à partir du moment où vous ne l’occupez pas). C’est une variante de l’assurance habitation, mais dont le but est de couvrir les dommages qui pourraient survenir non pas dans l’appartement, mais à l’extérieur de l’appartement, notamment dans les parties communes de la copropriété.
L’idée étant que ce qui est dans l’appartement est couvert par l’assurance habitation du locataire, mais certains sinistres interviennent également à l’extérieur. Et peuvent générer des frais à l’ensemble de la copropriété.
En souscrivant à une assurance PNO, la copropriété permet aux copropriétaires d’être sûr de ne pas avoir à assumer collectivement les conséquences d’un sinistre ou d’un défaut d’entretien d’un des copropriétaires.
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