Les royalties
Les royalties sont le dernier-né des types de financement participatif. Les premières plateformes sont anglo-saxonnes, mais certains acteurs sont arrivés en France ces dernières années (notamment en immobilier, où les acteurs se bousculent).
Le principe est simple mais différent des autres modes de financement participatif. Ici, pas de propriété sur les actifs comme pour les actions ou d'échéance de remboursement comme pour les obligations, mais un pourcentage du chiffre d'affaires futur en contrepartie de l'investissement.
Plus courant au Royaume-Uni et aux USA qu'en France (où il n'était utilisé jusqu'ici non pas via le financement participatif mais pour encadrer les contrats de franchise entre franchisé et franchiseur), il a fait son apparition dans l'univers du crowdfunding avec un sous-jacent immobilier en raison de son cadre juridique plus simple et moins coûteux à mettre en place que celui de la propriété (actions, foncières ou SCPI par exemple).
Il reste néanmoins assez dangereux dans la mesure où ce contrat repose sur la confiance octroyée par l'investisseur dans la capacité de la plateforme ou du porteur de projet à redistribuer les revenus, ces derniers n'étant pas encadrés par un contrat de propriété mais de redevance. Sans compter sur la valeur intrinsèque de ce type de contrat (par définition dissociée de la valeur du foncier dans le cas de l'immobilier), qui pour le moment semble plus animée par la spéculation des nombreux investisseurs attirés par les promesses de rendement que par la valeur réelle sous-jacente.
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Après le don et les actions, ce sont les obligations qui furent explorées par les plateformes de crowdfunding. Avec une forme de logique, le financement participatif en capital ayant du mal à trouver son public d'investisseurs, les différentes plateformes de l'époque ont alors cherché d'autres instruments financiers avec lesquels les Français se sentaient plus à l'aise.
Les plateformes de don sont les premières plateformes de crowdfunding à avoir vu le jour. Elles se situent un peu à part des autres plateformes, tant sur le type de projets financés que sur le public visé (et sur le succès rencontré). En effet, le fondement plutôt philanthropique, ne générant pas de rendement pour l'investisseur, aurait pu laisser présager d'un échec du concept.
Les royalties sont le dernier-né des types de financement participatif. Les premières plateformes sont anglo-saxonnes, mais certains acteurs sont arrivés en France ces dernières années (notamment en immobilier, où les acteurs se bousculent).
Le Crowdfunding Equity, ou financement participatif en actions, est le deuxième type de plateforme de crowdfunding à être apparu à la fin des années 2000 (en 2008 en France). Ici, l'idée est de couvrir les deux aspects du crowdfunding : la quête de sens des épargnants, mais également le rendement potentiel.
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