Les frais d'intermédiation indirects

Nous explorons ici la couche de frais supplémentaire pris par les intermédiaires indirects, qu'ils soient courtiers en crédit, en assurance ou conseillers en gestion de patrimoine.

 

Ces frais, souvent évitables, doivent être la contrepartie d'un gain financier par rapport au frais des intermédiaires directs, d'un gain de temps ou d'un rapport de confiance et de conseil avec l'intermédiaire. Si possible, les trois à la fois !

 

Ces frais, qui constituent leur rémunération, sont de deux types :

 

  • Des honoraires : transparents car payés par le client à l'intermédiaire indirect.

 

  • Des commissions ou rétro-commissions : moins transparents car payés par l'intermédiaire direct à l'intermédiaire indirect pour la mise en relation avec le client.

 

Il est important de distinguer les deux afin de poser les bonnes questions à l'intermédiaire. Les réponses à ces questions vous permettront de bien comprendre quel est l'intérêt financier de l'intermédiaire et de s'assurer de la convergence de ses intérêts avec les vôtres.

Les articles de la catégorie « Les frais d'intermédiation indirects » :

Les frais d'intermédiation indirects
Les frais des courtiers en assurance

Comme nous l'avons vu dans la section des intermédiaires directs, les assureurs proposent deux types de solutions : des assurances (logique !) et des placements à travers l'assurance-vie et le PER.

Les frais d'intermédiation indirects
Les frais des CGP / CIF

Il existe deux grands modes de rémunération pour les CGP/CIF : les honoraires de conseil et les rétrocommissions sur les placements vendus. Le premier est une facturation généralement horaire, parfois forfaitisée, le second est un pourcentage des montants placés, soit au moment de l'investissement (rétrocession de frais d'entrée), soit annuellement (rétrocession de frais de gestion) ou même les deux ! 

Les frais d'intermédiation indirects
Les frais des courtiers en crédit

En tant qu'intermédiaire entre un établissement de crédit (souvent une banque) et un emprunteur, le courtier en crédit immobilier est susceptible de percevoir une rémunération de la part de l'établissement de crédit et/ou de l'emprunteur.

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